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Todo sobre el mar (Tout sur la mer), version originale normande

Mon premier week-end d’octobre s’est étendu sur 4 jours. Non ce n’est pas un autre jour férié français qui se trouve à l’origine de cette extension. C’est vrai qu’ils en ont tout de même une dizaine de plus que nous au Québec… mais ces derniers presque tous concentrés dans le mois de mai. L’automne, les préposés à la saine répartition des jours fériés ont choisi de laisser un nombre de jours de travail consécutifs (presqu’)assez consistant. Pourquoi? Pour permettre aux travailleurs de prendre au moins quelques-unes des journées de repos qui leur restent des cinq semaines de vacances annuelles auxquelles ils ont droit ou de leurs (en moyenne) 10 jours de RTT… évidemment !

Ce qui me fait d’ailleurs penser à une (autre) différence que j’ai noté entre le «Français de France» et le «Français du Québec»: alors qu’au Québec, on prend congé, en France, ils placent un congé. Alors que les uns semblent avoir peur d’en manquer en prenant, les autres se débarrassent des leurs en les plaçant…

Mais avec toutes ces histoires de vacances (ah! les vacances, la plage, le soleil…!), je m’éloigne totalement de mon sujet. Sujet que vous ne connaissez d’ailleurs pas encore. Je pourrais donc décider dès maintenant de vous faire changer de route… De vous emmener à une toute autre place que celle prévue lors de la rédaction de mon premier mot et vous ne le sauriez même pas. Ce qui n’a, par conséquent, aucun intérêt. Vaut mieux rester accrochée à mon idée de base.

Je vous parlais donc d’un week-end de 4 jours devenu réalité non pas grâce à un férié, un congé annuel ou un RTT, mais plutôt parce que, ayant bossé tout le week-end précédent pour une opération sur le Championnat d’Europe de concours complet de Fontainebleau, je devais – et j’avais bien besoin de -poser des journées pour reprendre les heures travaillées le samedi et le dimanche.

Où suis-je allée me reposer, selon vous? Je vous le donne dans le mille: dans mon petit B&B adoré !

Je ne l’écrirai pas trop fort parce que je sais que mes amis Québécois en ont un peu marre de la flotte (avec jeux de mot aussi poche qu’un pétard mouillé en prime…), mais, j’espérais silencieusement enfin pouvoir sentir la mythique pluie normande sur mes joues au cours de ce voyage… C’est l’automne, après tout.

Mais mon voeu ne fut pas exaucé. Les chapelets sur les cordes-à-linge doivent probablement être encore efficaces… Parce que mis à part la mer et les bouteilles de Badoit, la seule forme d’eau que j’ai pu voir se résume à quelques gouttelettes au retour, à hauteur de Pont-Lévêque. Sans plus. Je ne suis même pas sûre à 100% que cette bruine n’était pas un mirage occasionné par une exposition prolongée à la sécheresse… Peut-être nos petits-enfants visiteront-ils le désert de Normandie dans quelques années, qui sait ?

Cela dit, je n’ai peut-être pas vu de pluie… mais j’ai très bien vu la mer et plusieurs de ses délicieux fruits au Festival Tout sur la mer de Granville. Un tout petit festival, débordant de grandes saveurs!

Sans compter qu’en m’y promenant, je suis tombée face à face avec un fantasme de jeunesse! Enfin… Vous savez, les filles, ces petits livres Harlequin pour ados, que nous avons toutes lus pendant une période courte, mais intense de notre adolescence. Ceux issus de la version 1988 de la collection Coeur Grenadine d’aujourd’hui. Il y avait souvent une histoire d’amour de vacances à Key West ou Cape Cod mettant en vedette une jeune zurbaine en vacances au chalet familial et un jeune pêcheur de la côte ténébreux, un peu sauvage et DOOOONNNNTTT fin, pis beau, pis attentionné, pis toute pis toute. Il sentait même pas le poisson après ses journées de travail!

Eh bien, j’ai vu le papa de l’un d’entre eux! C’est un Normand qui pratique la pêche sportive et qui se trouvait sur place pour parler de sa passion. DOOOONNNNTTT fin, pis beau, pis attentionné, pis toute pis toute. J’ai jasé un peu avec lui, le temps qu’il m’explique ses histoires de pêche. J’étais sur le point de lui demander s’il avait un fils, mais j’ai plutôt largué les amarres. Parce que je voyais quelqu’un taper du pied en m’attendant au loin et puis je me suis dit que de toute façon, ces histoires-là, ça finit toujours sur une note tristounette du genre « ils passèrent un bel été et vécurent ensuite leur vie chacun de leur côté. »  🙂

Les nombreuses dégustations de produits de la mer et de vins du terroir ont tôt fait de me consoler! Miam miam! Puis à la toute fin du parcours se trouvait la tente des produits «bruts»! C’est ici que j’ai sorti mon appareil photo…

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Tout plein de poisson frais... avec parfois des tronches rigolottes 🙂

Des petites coquilles aux mille et une surprises...

Bulots et amandes, des petites coquilles aux mille et une surprises...

J'avoue que celle-ci, j'ai un p'tit pincement quand je la vois...

J'avoue que celle-ci, j'ai un p'tit pincement quand je la vois... Mais M. Paul m'a dit que «ça fait partie de la vie»... C'est comme les casques de poil que les gens abandonnent sur les bords d'autoroute...

B. Day = Bad Day ou Beautiful Day ?

Il y a des jours où ça nous tente moins que d’autres… Comme ça, sans qu’il y ait vraiment de raison apparente. Dans mon cas, c’est souvent le mercredi ou le jeudi. Les mercredis c’est psychologique: «eh merde… on est JUSTE à mi-chemin de cette foutue semaine». Les jeudis, c’est physique: «ouin… peut-être qu’à l’âge où je suis rendue, je devrais essayer de trouver le moyen de dormir en moyenne 5 heures par nuit plutôt que seulement 3 ou 4…».

Aujourd’hui, c’était un jour comme çFrea. Ou pire. Parce qu’à son origine, il y avait plutôt un melting pot de causes : la fatale cause physique parce qu’on est jeudi, mais avec un p’tit restant de la cause psychologique de la veille («eh merde… il reste ENCORE vendredi») et une toute nouvelle cause disons mensuelle: les hormones.

Ainsi, tout a commencé par un bouton dans le front. Ça faisait tellement longtemps que je n’en avais pas vu dans mon visage que quand je l’ai aperçu ce matin dans le miroir, j’ai d’abord pesté contre la résistance au froid des moustiques parisiens. Puis j’ai bien senti qu’au toucher ça faisait plus ouille que pique-pique. Un bouton bien calé entre deux rides… joie!

La journée s’est ensuite déroulée sans embûches majeures… mais sans motivation majeure non plus. En fin d’avant-midi, j’ai dû me rendre à l’évidence: cette journée ne ferait pas son entrée au Temple de la Renommée des journées les plus productives et les plus focalisées de Missk. Vivement les tâches «pilotes automatiques» que nous devons de toute façon effectuer…

Puis juste avant de partir du bureau, je suis allée chercher ma nouvelle liasse de tickets restos. C’est à ce moment, en «parlant parlant, jasant jasant», que j’ai appris qu’une collègue quittait pour une sabbatique de 11 mois. Sa raison? Elle écoute sa p’tite voix  qui lui chuchote de «risquer» et plonge les yeux fermés dans un projet embryonnaire qui lui tient à coeur. Je l’ai écoutée me raconter, ravie de la voir si motivée et décidée. Son excitation était communicatrice. Ses yeux : brillants! Ça m’a fait du bien. Cette énergie du renouveau, en plein coeur d’une saison où tout a plutôt tendance à s’endormir m’a revigorée. Du coup, c’est le sourire aux lèvres que je me suis dirigée vers l’enfer: le trafic des transports en commun.

En chemin vers la gare, j’ai fait un petit arrêt à l’épicerie du coin question de remplir mon baluchon de quelques provisions. À la caisse, alors que je venais de mettre tous mes achats sur le petit tapis noir, un gentil monsieur a pris mon panier vide pour le ranger. Avec le sourire. C’est la première fois que ça m’arrive ici je crois (le mix «ranger panier» + «sourire»). Je l’ai remercié d’un sourire à mon tour. Quand je l’ai sorti de mon sac pour payer, mon portefeuille a eu un malaise: il a vomi toutes mes cartes sur le plancher. J’ai un portefeuille très féminin et donc débordant de cartes toutes plus inutiles les unes que les autres. Quand je me suis penchée pour les ramasser, j’ai aperçu une petite tête brune de 8-9 ans qui était déjà affairée à tout classer. Le gamin m’a tendu le «tas», l’air intimidé. «Merci !» lui ai-je illico lancé, les coins de lèvres touchant à mes oreilles. C’est à ce moment que ses yeux se sont éclairés et il m’a franchement souri. Il n’est peut-être pas habitué aux mercis. Ce court épisode m’a fourni une autre p’tite dose d’énergie.
Heureusement parce que c’était la première fois que j’embarquais dans un train aux similarités aussi prononcées avec une boîte de sardines! À tous les niveaux. Ouf.

La sardine que je suis devenue le temps de quelques arrêts est débarquée à St-Lazare avec l’idée bien arrêtée de prendre la ligne 9, même si c’est moins rapide que le RER. Pourquoi? Parce que la sardine Missk n’avait pas envie d’un autre «changement de train». Seule la ligne 9 l’emmène directement à la maison, sans transfert. ERREUR. La ligne 9 était au ralenti. Après avoir laissé passer deux trains trop pleins à mon goût, j’étais décidée à m’imposer dans le train suivant. Vient un moment où il faut bien rentrer à la maison! J’ai essayé. Mais une p’tite dame pas-pantoute-sympathique m’a violemment tassée pour entrer! Classique. Mais les gens l’ont vue et lui ont fait des gros yeux. Petit moment de satisfaction dans mon coeur. Même si je n’avais pas plus de place. Elle s’est défendue: «J’étais là avant»! «Yeah right. Ça fait 3 trains que j’attends. Pousse, mais pousse égal comme on dit. Aie au moins la franchise d’assumer ton impertinence!», lui ai-je répliqué. Appelons ça du wishful thinking…

J’ai donc pris le métro suivant. Et j’ai même eu droit à un strapontin! Strapontin que j’ai instinctivement laissé à une dame âgée à deux stations de mon arrêt. La reconnaissance lue dans ses yeux! Elle a immédiatement effacé toute trace d’impertinence restée dans mon dossier «rancoeur», que j’essaie de vider chaque soir avant de faire dodo. Pas toujours avec succès, toutefois. Puis arrivée à mon arrêt, elle s’est aussi levée, m’offrant le strapontin: «Reprenez-le… Je sors!». Je lui ai simplement dit «Je sors aussi :)». Alors j’ai eu droit à un autre ÉNORME merci.
Puis je suis passée à la boulangerie avant de rentrer. La boulangère m’a encore une fois dit «J’adore votre accent». «J’ai beau essayer de m’en débarrasser, je n’y arrive pas», lui ai-je répondu.«NOOOOOOOOOONNNNNNNNN!» m’a-t-elle imploré du fond du coeur! «N’essayez plus! Gardez-le!».

Vous savez, les «J’adore votre accent», je les collectionne depuis que je suis à Paris. J’en suis parfois même à répondre «Le vôtre est pas mal non plus» à la suggestion de mon cousin qui lui, en avait déjà marre après 2-3 semaines… Mais ma boulangère, ce soir, elle m’a fait plaisir. Elle me le dit pour la Xième fois et chaque fois, elle déborde de sincérité comme un fan qui, espérant le rappel, applaudit à en en avoir les mains engourdies!

Je suis donc rentrée le sourire aux lèvres. Et je me suis rappelée que ce matin, ma journée avait commencé par un gros bouton et une vague de «ça me tente pas pantoute». Alors j’ai pensé à un article que j’ai récemment écrit sur le bonheur (Qu’est-ce qu’on attend pour être heureuse). Je ne suis pas friande des livres de pop-psycho que je considère souvent être d’«excellents» exercices de réécriture et de remâchouillage d’une recette de base.

Mais les gens à qui j’ai parlé et les livres que j’ai lus pour écrire ce (trop) court article n’avaient rien à voir avec les lunettes roses et les formules toutes faites. Il  était plus question de science que de dictons. D’analyse que de leçons… Et travailler à cet article fut du pur bonheur pour moi (elles est TROP facile pour ne pas que je la place :-))! J’ai discuté avec des gens passionnés qui aiment visiblement ce qu’ils font.

Bref, à l’issue de cette journée mi-figue mi-raisin, j’ai pensé à cet article dont je ne vous avais pas encore parlé. Et j’ai décidé de vous en parler… Le tout, en écoutant True Colors… que mes ex-collègues connaissent bien (c’était ma sonnerie de BB… un de mes plaisirs coupables!)!

Le bonheur en images – Tome 1

Hier, une triste nouvelle a assombri ma journée et celle de très très très nombreuses personnes : le décès prématuré, tragique, inexplicable de quelqu’un qui a réussi à écouter son coeur dans sa vie, et à toucher celui de plusieurs, dont le mien. Je ne la connaissais pas beaucoup, ne l’avais même jamais rencontrée «en chair et en os», mais nos rencontres virtuelles et nos échanges par courriel étaient à tout coup débordants de chaude fraîcheur, de légère profondeur, et de pur bonheur. On a entre autres eu de longues discussions sur deux sujets au coeur d’articles que je devais écrire: Partir en solo: fuite ou quête personnelle ? et Qu’est-ce qu’on attend pour être heureuse?. Notre dernier échange remonte à tout récemment, alors qu’elle a partagé une dure tranche de sa vie avec moi, pour un article que je suis en train de préparer… Une tranche de vie qui restera maintenant bien cachée dans mes souvenirs.

Ce matin, au lendemain de la nouvelle, je n’ai qu’une envie…: Mettre en ligne de beaux souvenirs de voyage. Pour dire «MERCI!»… Pour partager toutes ces belles choses que j’ai récemment vues dans le p’tit Cotentin paradisiaque où je suis retournée pour mon anniversaire. Il y en a beaucoup. Alors en voici une première partie…

À mon arrivée au L'Biao, j'ai retrouvé la quiétude que j'y avais laissé lors de mon précédent passage, et je me suis empressée de la revêtir...

À mon arrivée au L'Biao, j'ai retrouvé la quiétude que j'y avais laissée lors de mon précédent passage, et je me suis empressée de la revêtir...

Dans le petit village de Bricquebec, il y a un beau château, une imposante cathédrale, et de la torgueule, un petit dessert local qui ressemble à du pudding au riz à la canelle...

Dans le petit village de Bricquebec, il y a un beau château, une imposante cathédrale, et de la torgueule, un petit dessert normand qui ressemble à du pouding au riz à la canelle...

Petit repas à Barfleur, au gros soleil... La «moule de Barfleur Normandie Fraîcheur Mer, est une moule de pêche d’origine garantie, avec un taux de chair garanti ≥ 25 %, garantie dessablée, intègre et propre.» Mais nous ne sommes pas les seuls à aimer ces moules «garanties». Comme vous pouvez le voir, les pinnothères font tout en leur pouvoir pour remettre la garantie «propre» en question, et s'accrochent bravement à la moule, pour s'y abriter... Pourquoi? Parce que ces petits crabes se nourrissent goulument en nettoyant les branchies de leur hôte! Donc si votre bouchée fait «crouch crouch», vous savez que vous venez de mettre la dent sur un petit crabe téméraire...

Petit repas à Barfleur, au gros soleil... La «moule de Barfleur Normandie Fraîcheur Mer, est une moule de pêche d’origine garantie, avec un taux de chair garanti ≥ 25 %, garantie dessablée, intègre et propre.» Mais nous ne sommes pas les seuls à aimer ces moules «garanties». Comme vous pouvez le voir, les pinnothères font tout en leur pouvoir pour remettre la garantie «propre» en question, et s'accrochent bravement à la moule, pour s'y abriter... Pourquoi? Parce que ces petits crabes se nourrissent goulument en nettoyant les branchies de leur hôte! Donc si votre bouchée fait «crouch crouch», vous savez que vous venez de mettre la dent sur un petit crabe téméraire...

Petit arrêt sur une belle plage en fin d'après-midi...

Petit arrêt sur une belle plage en fin d'après-midi...

Le Cap de La Hague...

Le Cap de La Hague... On ne le voit pas, mais derrière moi, il avait 3-4 couples de mariés venus prendre des photos... Je crois que c'est un endroit de choix pour les albums de mariage... 😉

D'ailleurs... ils semblent avoir une façon typique de décorer les voitures des mariés en Normandie...!

D'ailleurs... les Normands semblent avoir une façon typique et originale de décorer leurs voitures de mariés...!

Cap de La Hague encore...

Cap de La Hague encore...

Je n'étais pas en Blue Jeans sur la plage... mais ma promenade fur magnifique!

Je n'étais pas en Blue Jeans sur la plage... mais ma promenade fut magnifique!

C'est juste beau... L'infini de la terre... l'infini de la mer... les oiseaux qui se font sécher les ailes... le calme... Wow.

C'est juste beau... L'infini de la terre... l'infini de la mer... les oiseaux qui se font sécher les ailes... le calme... Wow.

Le temps d'un instant... En regardant un coucher de soleil, on réalise que le temps n'est pas fixe... et qu'il passe vraiment très vite.

Le temps d'un instant... En regardant un coucher de soleil, on réalise que le temps n'est pas fixe... et qu'il passe vraiment très vite.

Même soleil, autres instants...

Même soleil, autres instants...

...(soupir)...

...(soupir)...

Des sourires gratuits, ça vaut d’l’or!

Avez-vous remarqué que souvent, quand on croise les gens dans la rue, dans les transports en commun, au supermarché… ils affichent une mine «neutre». Pas de sourire, pas de baboune, une simple ligne droite de la joue gauche à la joue droite, au-dessus de laquelle un regard laconique, vide ou perdu, au choix, est suspendu. Blasé est le mot qui me vient à l’esprit, mais peut-être est-ce simplement «fatigué» ou «déconnecté entre deux obligations» (comme dans «De retour dans 5 minutes»).

Dans cet océan de «pareil», les sourires et les yeux vifs éblouissent et ravissent. Je l’ai constaté avec certaines caissières de supermarchés et de boutiques ainsi qu’avec des employés des transports en commun parisiens. Les jours où je refuse obstinément de glisser dans cet état «somnambulique», je leur sers mes plus beaux et authentiques sourires, leur demande sincèrement comment ils/elles vont et leur souhaite chaleureusement une agréable journée. Et devinez quoi? Ils et elles semblent heureux(ses), voire soulagé(e)s, de pouvoir à leur tour libérer un sourire pour me répondre. Et ça, ça me fait sourire encore plus. Mais ça ne vaut pas les fois où je croise un(e) même employé(e) pour la seconde fois et qu’avant même que je ne me manifeste en toute gaieté, ce sont EUX qui me sourient des yeux… et de la bouche!

Mais au-delà de ces échanges fortuits, il y a tout plein de trucs qui peuvent me faire sourire… (Je dédierai d’ailleurs très bientôt une section complète du blogue à un type précis de «générateurs de sourires»… Restez branchés!)
Parmi ces trucs, il y a ce resto – La Dame Brune – sur Faubourg St-Antoine. Chaque fois que je passe devant, la mention «Cuisine de femme», côtoyant «Nombreux cocktails» et «English Spoken» me fait sourire. D’ailleurs, si l’un d’entre vous peut me décrire ce qu’est la «cuisine de femme», je serais curieuse de le découvrir!

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En Belgique, vous savez déjà que marcher sur la rue aux Choux de Bruxelles m’a fait sourire. Mais il y a aussi ce fameux restaurant se spécialisant dans… les spécialités diverses qui m’a bien fait rigoler:
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À Donostia, ce sont les petits pictogrammes sur l’une des affiches du port qui m’ont amusée… Surtout, ne pas basculer dans l’eau (à voir la position du petit bonhomme, je prédis d’ailleurs un «flat» assuré!) ou songer à y plonger avec la voiture:
donos_pictosAh, et puis pourquoi pas reculer dans le temps jusqu’à Shanghai… Là aussi, les pictogrammes dans le métro m’ont bien fait rigoler:

Pas le droit de cracher dans le métro de Shanghai!

Pas le droit de cracher dans le métro de Shanghai!

Et pas de feux d'artifice dans le métro non plus!

Et pas de feux d'artifice dans le métro non plus!

Dernière petite chose qui m’a fait sourire hier… Au Franprix, alors que je cherchais la rangée du détachant à lessive, une voix dans l’interphone a gentiment demandé au propriétaire du chien se promenant dans les rayons de le récupérer. Deux minutes plus tard, la même voix a souligné que le chien était maintenant aux caisses et que son propriétaire était attendu. Un autre deux minutes plus tard, la voix cherchait toujours le propriétaire. Quatre, six, huit minutes… Quand je suis arrivée aux caisses, j’ai flatté le chien. La propriétaire discutait avec le boucher, je les ai entendus en passant à côté. Ça m’a fait sourire. Imaginez un chien en liberté dans un supermarché québécois… 🙂


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